Accident Du Fils De Jean-Claude Bourret

Accident Du Fils De Jean-Claude Bourret – Un accident sur la D 928 sur la commune de Bourret hier en début d’après-midi a entraîné la mort d’une famille de Montpezat-de-Quercy. Accident survenu alors que le véhicule était en mouvement, à 13h30 dans le sens Beaumont-Montech. deux morts et un autre grièvement blessé. Vous êtes tous les trois liés.
Isabelle Zanchetta, 40 ans, du quartier Montpezat de -Quercy dit « Pech de la Salvetat », était au volant. Corentin, son fils de 15 ans, et Julie, sa fille de 20 ans, l’avaient rejoint. Les premières données recueillies par la COB de la police de Montech suggèrent que le véhicule a dévié de la route et s’est enfoncé dans l’herbe avant de s’enfoncer dans une première plate-forme située à droite de l’avancement du véhicule. L’avant de la voiture s’est cassé et il a rebondi sur une deuxième plate-forme à quelques mètres de là. À ce moment-là, il a sauté du sol et dans un champ de contrebasse, où il a exécuté un tonneau.
tué instantanément
À quelques mètres de la route, en bordure d’un champ, une scène terrifiante attendait les secouristes. Isabelle Zanchetta et son fils Corentin ont été tués sur le coup, malgré les efforts des sapeurs-pompiers de Verdun-sur-Garonne, Montech, Castelsarrasin, Beaumont-de-Lomagne, et du Service Médical Spécial Accident (SAMU) du CHU de Montauban. . En revanche, Julie a été grièvement blessée dans ce double accident de la route mortel et a dû être héliportée à l’hôpital de Montauban.
Les policiers de l’EDSR de Montauban et leur commandant, le commandant Jean-Paul Barreigts, se sont également précipités sur les lieux du drame. Egalement, le maire de Bourret Frédéric Ius et son adjoint numéro un, Yves Couderc. La police a mis au point un système de circulation alternée pour contrôler la circulation pendant plusieurs heures. La ville Quercynoise a été immédiatement choquée lorsque la nouvelle est tombée tout au long de l’après-midi. Isabelle Zanchetta était l’épouse de Jean-François Zanchetta, actuel conseiller municipal, et la fille de Pierre Bogino, coordonnateur départemental du Téléthon et figure éminente du milieu associatif local.
Ils rentraient à Auch
L’accident s’est produit au retour d’Auch. Corentin Zanchetta venait en effet d’achever de disputer un match de foot-fauteuil dans la préfecture du Gers. Suite à la sortie de route de la voiture et aux terribles séquelles que tout le monde connaît, la famille Zanchetta revenait à Montpezat-de-Quercy.
La ville l’accueillera dès 11 heures à l’hôtel de ville, où de nombreux électeurs et élus seront présents. Ce journaliste à la retraite de 70 ans a 23 ans d’expérience dans la présentation du JT. Le nuage de Tchernobyl et sa trajectoire au-dessus de la France ont été dévoilés pour la première fois dans cette émission, aujourd’hui considérée comme un classique de la télévision.
L’hommage se poursuivra ce soir à 20h30 dans la salle des fêtes. Jean-Claude Bourret y animera une conférence sur l’un de ses sujets de prédilection : la mythique Bête du Gévaudan, qui le fascine depuis des années. Son livre sur le sujet a très bien marché dans les librairies. Ce roman graphique, dessiné par Julien Grycan et publié avec son aide, se propose de corriger une erreur historique. Car Jean-Claude Bourret, après de nombreuses années de travail journalistique assidu, est persuadé d’avoir percé le mystère de cette Bête. C’est exactement ce qu’il prévoit de développer lors de la prochaine conférence.
En plus d’être un acteur très sollicité en France, Jean-Claude Bourret a récemment endossé le rôle de porte-parole de l’association Les Petits coeurs, qui lutte pour les droits des enfants atteints de cancer. Il ne cesse de défendre le professeur Thierry Philip et sa campagne nationale pour la justice. Un groupe de Petits Cœurs sera présent à Langogne pour manifester son soutien à l’hommage rendu à ce grand journaliste qui était gentil et humble et dont la popularité perdure encore aujourd’hui.
Curieusement, Guy Rambault a une formation scientifique ; il est chimiste et biologiste de formation. Il a passé la majeure partie de deux décennies à travailler avec un accélérateur de particules à Rhône-Poulenc et a également fait des recherches en nanosciences dans un laboratoire Lactalis à Paris. Dans les années 1970, il s’installe à Saint Varent pour diriger la division industrielle de la fromagerie Riblaire. Après avoir subi un grave problème de santé en 2000, il a été contraint de quitter son emploi et de réduire considérablement ses activités sportives. Je suis à perte. Écrire.
Et le chercheur Guy Rambault évolue en poète et philosophe rural.
Ses deux premiers livres sont des recueils de poésie et le troisième est un tutoriel de poésie philosophique. Avant de bien s’ancrer dans le monde moderne, il revient sur la patrie de ses ancêtres, Piogé (petit village situé juste à côté d’Availles-Thouarsais) dans ce quatrième livre sur le sujet. Ce livre, intitulé “fils de paysans à Piogé”, raconte l’histoire de l’expérience de l’auteur qui a grandi parmi les Canadiens français ruraux dans les années 1960.
Ce n’est pas un roman, mais plutôt une collection de courtes histoires comiques avec des personnages pour la plupart encore vivants. Ce sont des souvenirs des bons moments que nous avons eu dans notre campagne pendant l’après-guerre. C’est un regard introspectif et philosophique sur la vie à la campagne.
Son livre peut être acheté dans les librairies parisiennes comme Thouars et Airvault. Les 17 et 18 septembre, Guy Rambault aura une table au grand rendez-vous des Créactives, où il dédicacera son livre. Le 6 octobre, il sera au salon du livre de Sainte-Verge aux côtés de Jean-Claude Bourret. Quand nous mourrons, nos âmes continueront à vivre sous une forme ou une autre. Ceci est démontrable par des moyens scientifiques. La couleur se dévoile dans le sous-titre du dernier livre écrit avec Jean-Claude Bourret et Jean-Pierre Petit. C’est la couleur de l’optimisme, la fin de la mort telle que nous la connaissons, la fin de la mort telle que l’école de pensée matérialiste la promeut depuis l’ère de la lumière électrique.
Jean-Claude Bourret est journaliste et ancien rédacteur en chef de France-Inter, FR3, TF1, La Cinq et RMC, spécialisé dans les reportages ovni.Ils avaient déjà écrit deux best-sellers pour le même éditeur à quatre mains : « OVNI, l’extraordinaire découverte » et « Contacts de l’espace ».
Nathalie Marquay-Pernaut, l’épouse d’un autre présentateur, brise également ce tabou. Ce livre riche en informations est présenté de manière conversationnelle et est étonnamment agréable à regarder. Les hypersensibles, qui ont une interprétation unique de l’au-delà, seront les plus touchés. Les co-auteurs, animés par le désir de démystifier des concepts scientifiques souvent obscurs, plongent tête la première dans le vif du sujet, fournissant un régime équilibré d’informations qui satisfera à la fois les nerds scientifiques et les lecteurs en général.
R. J.-C. Bourret : Nous allons aborder ce troisième tome en équipe, cher Jean-Pierre. Dans la plus haute considération possible, je voudrais exercer ma co-écriture. Quoi que vous nous disiez, et j’en suis témoin, il y a toujours une composante scientifique conséquente que j’essaie de suivre au mieux. Dans les deux premiers livres, vous avez mis mon cerveau en enfer, et j’ai l’impression que c’était comme ça pour la grande majorité de nos lecteurs.
Les conversations que nous avons eues au cours des derniers mois ont clairement montré que ce troisième livre nous mènera plus loin que tous les autres. Je crains que nos lecteurs à ces hauteurs ne manquent d’oxygène. Je vous propose de revisiter les fondements scientifiques de ce nouveau sujet à la fin du livre et d’aller tête première dans les conséquences passionnantes.
JCB : Allez droit au but, les gars. Vous avez expliqué qu’il existe deux types différents de masses dans l’univers dans vos deux livres les plus récents. Il y a des masses positives, comme celles de notre corps, que nous pouvons ressentir et observer, et des masses négatives, comme celles avec des énergies mc2 négatives, que nous ne pouvons pas. Ils émettent des photons d’énergie négative, qui sont indétectables par notre technologie de surveillance actuelle.
Ils interagissent avec les originaux d’une manière qui défie la gravité (en utilisant les lois suivantes : comme les masses s’attirent selon la loi de Newton, et elles sont fondamentalement invisibles). Les contresignes s’accumulent et repoussent, du moins c’est ce que dit la théorie “anti-Newton”. Vous soutenez que la matière négative peut remplacer efficacement la matière noire et l’énergie noire, dont les astronomes n’ont jusqu’à présent pas été en mesure de prouver l’existence.

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